Michaël Riedler, violon
Musicien passionné, Michaël RIEDLER choisit le violon à l’âge de 8 ans. Après ses études musicales au CRR de Paris dans la classe de Bertrand Cervera puis celle de Suzanne Gessner, Michael est admis à l’unanimité au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et obtient son master mention très bien à l’unanimité dans la classe d'Olivier Charlier et de Joanna Matkowska.
Investi dans le développement de ses qualités d’interprétations, il fait la rencontre d’éminents musiciens qui le soutiendront et le conseilleront tel que Zacharia Zorin, Dong-suk Kang, Guillaume Sutre ou Daniel Gaede, Konzertmaster à l’orchestre Philarmonique de Vienne.
Désireux de se projeter dans des répertoires différents, Michael a l’occasion de jouer au sein d’orchestres et ensembles comme l’Orchestre de Paris, l’Ensemble Inter-contemporain ou l’Orchestre National d’Ile de France.
Il co-fonde par ailleurs le duo Riedler-Dollat, violon-orgue, qui a pour but de faire découvrir le répertoire contemporain ainsi que toutes les possibilités qu’engendre cette formation.
Michaël est primé dans de nombreux concours internationaux dont Flame, Vatelot, Grumiaux (Belgique), Inter-Cordes.
Passionné de musique de chambre, il effectue une formation en trio et obtient son prix de concertiste dans la classe d'Emmanuel Strosser. Le trio s’est produit à la Philharmonie de Paris ainsi qu'aux archives de Paris. En tant que chambriste, il bénéficie des conseils de Claire Desert, Itamar Golan, Jean Sulem, Valentin Erben, François Salque dans des formations variées allant de la Sonate au Quintet.
Michael Riedler se produit régulièrement en solo et en musique de chambre à Paris : à l'église St Roch, à l'église St Eugène, à l’église Notre-Dame des-Blancs-Manteaux et à la Cathédrale américaine.
Il est invité à de nombreux festivals : Hohenstaufen en Allemagne, Saint Cézaire, le festival des «Cordes de Loire», «les musicales de l’Eure» en Normandie, les «Vacances de Monsieur Haydn» au cours duquel son interprétation de la Sonate de Fauré avec le pianiste Gaspard Thomas est qualifiée par la presse la Nouvelle République comme un « inépuisable flot de richesses sonore ».
octobre 2020